Ces produits seront disponibles en ligne jeudi matin prochain (21 novembre 2019).

Bushmills 10 ans Irish Single Malt 40% – 45,25$

CSW : Le caractère irlandais typique, à la couleur Bushmills (version single malt). Un peu de miel, de chocolat et de fruits séchés. Savoureux, onctueux et léger.

QW (2012) : Old Bushmills est la plus ancienne distillerie officielle de whisky au monde. Elle a obtenu sa licence officielle de fabrication de whisky en avril 1608. Elle a, depuis cette date, toujours été en service. Old Bushmills produit à la fois des blends et des single malts. Le plus célèbre single malt irlandais est vieilli principalement en fûts de chêne américain bourbon barrels avec une part mineure de fûts de chêne espagnol ayant contenu du Xérès.
André 82%Un travail sur les tonalités de vanille et du travail du bois. Bananes coupées en tranches nappées d’essence de vanille et de crème fouettée, de miel. Superbement doux et crémeux au nez, un whisky de d’ambiance, de mood relax. En bouche, des notes de fruits sortent de nulle part et les saveurs du nez s’expriment maintenant plus librement. En diluant le whisky avec la salive, on est à même d’aider les nuances du miel et de la vanille à évoluer. Le travail du bourbon cask est définitivement en avant-plan et si sherry cask il y a, ce n’est probablement pas en très grande concentration. La finale est à l’image du nez et de la bouche; sucrée, mielleuse, mélange de bananes, de sherry avec une pointe d’épice en toute finale de bouche. De belle conception, je crois que ce whisky ne plaira pas à tous, mais s’il est consommé au bon moment et dans les bonnes circonstances, il laissera définitivement les souvenirs d’une belle expérience au dégustateur.
Patrick 80%Au nez, vanille, orge et miel. Le goût est très léger, enrobé de vanille de délicieuse façon. Léger miel. Orge humide. En finale, des traces de sherry et de vanille.
RV 80%Ce n’est pas ce whisky qui va faire à couler le sang vert en mes veines. Mélange de caramel et d’herbe de ruisseau ou de trou d’eau de bord de la track (chemin de fer). Arrivée en beurre et caramel, plus poussé sur l’herbe que le 16YO. Sans surprise et inoffensif, tout autant pour les papilles que pour mon top 10.

Deanston Virgin Oak Single Malt Scotch 46,3% – 50,25$

CSW : Un jeune Deanston, dans une version vieillie en fûts neufs venant du Kentucky. Citron frais et sucré, miel, sirop d’érable, vanille et cannelle. Un bon jeune Single Malt qui a été imprégné de l’empreinte du Kentucky.

QW (2013) : Deanston est une distillerie située dans les Highlands du sud, elle a été mise en service depuis seulement 1965, ce qui ne l’empêche pas d’élaborer d’excellents single malt whiskies. Il y a encore quelques années, ils n’étaient pas embouteillés mais étaient utilisés pour l’assemblage de fabuleux blends. Avec ce Virgin Oak, c’est une version de son scotch whisky vieilli dans des fûts neufs, que nous propose la distillerie Deanston. Ce qui est plutôt rare en écosse, de plus il est non filtré à froid et ne subit pas de coloration artificielle. Fait intéressant, la séparation “administrative” entre Highlands et Lowlands remonte à la fin du 18ème siècle, constituant une sorte de légalisation avant l’heure des distillateurs clandestins des Highlands. Ils eurent alors le droit d’utiliser des alambics plus petits et des moûts moins concentrés que leurs confrères des Lowlands, mais, en contrepartie, ils n’avaient pas l’autorisation d’exporter leurs malts! Ceci explique sans aucun doute le maintien dans les Highlands, de malts ayant beaucoup plus de typicité.
Relativement récente, cette distillerie des Highlands ouverte en 1965 doit sa création à la qualité de l’eau de la rivière Teith… et à la présence des grands ateliers d’une ancienne filature de coton qui venait de fermer ses portes. Elle est située à Doune, à peu de distance de la ligne séparant les Highlands des Lowlands. Un de ses créateurs possédait également à l’époque Tullibardine. Son premier malt s’appelait Old Bannockburn. Puis l’entreprise est reprise en 1972 par le groupe Invergordon, qui élabore un malt à la marque Deanston. Fermée depuis 1982, la distillerie est finalement rachetée par Burn Stewart, devenu par la suite propriété du groupe international CL Financial. La production est relancée, et les installations fortement modernisées en 2008 et 2009.
André 82.5%Nez céréales organiques et de foin sec, de miel, de citron, de poires et d’ananas. La bouche est plus relevée, l’addition de gingembre et d’épices au malt omniprésent aiguise un peu plus la bouche, je trouve aussi que l’effet apporté par le bois assèche aussi passablement l’ensemble. Une fois la vague d’alcool passée, les poires et la vanille resurgissent avec force et font la transition avec la finale de céréales au miel et au citron. Finale d’une bonne longueur. Je m’attendais à quelque chose avec plus de texture en bouche, c’est un peu clair et diffus. J’aimes bien les saveurs mais il y a aussi quelque chose qui m’accroche au nez, le côté organique un peu particulier, ce qui affecte la balance de l’ensemble.
Patrick 89%Nez : Zeste de citron, orge, pomme et bois frais. Bouche : Vanille, caramel, fruits mûrs avec une pointe de miel et de bruyère. Finale : Bruyère et chêne « frais », le tout plutôt sucré. La finale est d’une longueur plutôt moyenne, on l’aimerait beaucoup plus longue, comme bien des bonnes choses de la vie.

Jim Beam Baker’s 7 ans Kentucky Straight Bourbon 53,5% – 75,00$

CSW : Baptisé en l’honneur du neveu de Jim Beam, Baker Beam, le whisky utilise une variété de levures qui est dans la famille depuis plus de 70 ans. Une des éditions homologuées ‘Small Batch’ qui a le plus de réputation de qualité. Un whisky présenté à haut pourcentage d’alcool (il n’est mentionné nul part que c’est présenté officiellement en brut de fût, mais le haut degré), donc plus concentré en saveurs et en texture. La bouche est intense, mais relativement en finesse, ce qui apporte un double charme à ce whisky. Un rapport qualité-prix hors de l’ordinaire.

QW (2012) : Ce small batch bourbon (un assemblage de quelques fûts) devrait ravir les amateurs de bourbons secs et robustes, haut de gamme de Jim Beam. Baker’s a été élu meilleur bourbon de moins de 8 ans aux World Whisky Awards 2008.
André 91.5%Comme dit RV, impossible de ne pas le comparer au Booker’s. La texture en bouche est superbe, le taux d’alcool est mieux contrôlé que le Booker’s et ce même si on est encore dans la court des cask strength. Les saveurs habituelles de bourbon sont là, mais y’a une balance dans l’ensemble qui est vraiment singulière. Le fruité est généreux et exubérant, les cerises (encore une fois) et un rugueux en finale qui est vraiment unique. Le kick de sucré en finale englobe le tout avant une rétro-olfaction longue et calme. Le Booker’s affiche sa singularité dans son haut taux d’alcool en coup de poing fruité, le Baker’s, lui, préfère la balance et la subtilité.
Patrick 88%Épicé, un peu fumé. Typiquement bourbon, mais en plus intense et avec un léger fruité qui le démarque de ses congénères. Tout ce que je recherche dans un Bourbon.
Martin 89%Un autre bourbon cuivré, maudits soient les dimmers du Morrin. Nez: Incroyablement doux et sournois, il cache bien son jeu au niveau de son taux d’alcool. Maïs, épices, arachides, puis caramel et vanille, pour terminer sur une bonne bouffée de chêne juteux. Bouche: Comme tous les bons cask strength, l’alcool brûlant et les épices nous courent après, toutefois on peut prendre le temps de déceler caramel salé, maïs, vanille et salade de fruits dans son sirop. Finale: Si ce n’était du maïs épicé, défiant toute logique et raison la plupart des conditions gagnantes d’un bon sherry cask seraient réunies. Saisissant! Équilibre: Un autre deal de mongole en SAQ. Profitez-en pendant que ça passe!
RV 90%Impossible de ne pas le comparer au Booker’s, celui-ci offre au nez moins de cuir mais plus de fruits, avec des cerises (comme tous les bourbons) mais aussi des dattes. De plus, on dirait qu’il est plus concentré en blé que le Booker’s. Les dattes sont encore plus sucrées en bouche où elles prennent toute la place, avant d’être atténuées par la force de l’alcool au bout de la langue. La finale commence par un éclair de cendre, puis d’épices et de blé, puis descend tranquillement pour retourner aux fruits. Il laisse ensuite un bon souvenir, se retournant et s’enfonçant dans un champ de blé en automne. Un bourbon bien défini, très honnête mais aussi diplomate, et à 40$, vraiment pas honteux comme bourbon de tous les jours.

Green Spot Château Montelena Irish Single Pot Still 46% – 90,50$ Exclusif SAQ Signature

CSW : Comme les autres Green Spot, celui-ci est initialement vieilli en ex-fûts de Bourbon et de Xérès, mais est ensuite fini en ex-fûts de vins issus de Zinfandel du domaine Montelena, à Napa en Californie. Un whisky donc très riches, axé sur les fruits rouges et le nougat.

QW (2019) : Deuxième opus de la série Wine Geese de la distillerie. Maturation initiale en ex-bourbon cask et ex-sherry cask puis maturation additionnelle de 12 mois en ex French Oak Cask ayant servi à la maturation de vin Zinfandel de la maison Montelena de la Vallée de Napa en Californie.
André 84%Les fruits rouges sont à l’honneur et ouvre la parade. Fruits tropicaux, bananes, panier de fruits sauvages, agrumes et citron, réglisse, pommes rouges, cerises. Très attrayant au nez. La texture en bouche est malheureusement un peu diluée malgré le 46% d’alcool. Les saveurs sont superbes et s’accordent parfaitement; pelure de pommes, fruits sauvages, poires, agrumes, oranges, cerises marasquin, raisins verts, ananas. Finale légèrement abrupte, mais le whisky a gagné en texture après un bon 20 minutes dans le verre. Les saveurs de fruits divers sont toujours aussi intenses et la montée d’épices poivrées. Un whisky qui démontre bien le bouillonnement intense et le renouveau dans le monde des Irish whiskies.
Patrick 90%Oui, du whiskey Irlandais ça peut être bon. Voir excellent. En voici une autre preuve. Nez : Délicieux parfum de fruits et de caramel, avec une touche de chêne. Alléchant! Bouche : De beaux fruits mûrs, du chêne brûlé, des agrumes et du chocolat au lait. Oh que c’est bon! Et c’est meilleur à chaque gorgée! Finale : D’une belle longueur, sucrée et épicée.

Ardbeg An Oa Single Malt Scotch 46,6% – 123,25$

CSW : Deuxième relâchement SAQ de ce nouveau whisky ajouté au Core Range de la distillerie. Vieilli dans une combinaison de fûts neufs chauffés, ex-fûts de Pedro Ximénez et d’ex-Bourbon. Un Ardbeg avec beaucoup de richesse, sans être coup-de-poing comme le Uigeadail. Une texture crémeuse, avec des fruits rouges et jaunes, avec une belle tourbe soutenue, tous mariés avec brio.

QW (2017) : Édition permanente de la distillerie Ardbeg, l’expression An Oa (prononcez An Oh !) rend hommage à son origine sauvage avec des contrastes entre intensité et douceur, qui célèbrent la rencontre des tempêtes et du calme. The Mull of Oa est la partie la plus indomptable d’Islay. D’un côté, les falaises font face aux orages et vagues de l’Atlantique, et de l’autre, elles abritent la distillerie Ardbeg des puissants vents écossais. Vieilli dans une combinaison de fûts de sherry Pedro Ximénez, de bourbon, et de chêne neuf.
André 87%Si les Mini-Wheat ont leur p’tit côté givré, ce An Oa est défnitivement le côté paisible de Ardbeg. Le nez est distinctif, dans la ligne habituelle de la distillerie, la tourbe médicinale et mentholée, les agrumes, le citron, le miel et le caramel, texturé et huileux s’accompagnant d’une touche de fruits rouges mélangés. Les saveurs en bouche sont soutenues et bien campées, mais malheureusement la texture en bouche est un peu molle et liquide. La bouche s’ouvre sur la tourbe un peu animale, du menthol et du camphre, poivre et sel de mer laissant une petite pellicule sur la langue. Le liquide lui-même est dilué mais les saveurs intenses, notes de cocottes de pin, d’abricot et de poires, ananas. Finale un peu brusque et légèrement précipitée, la tourbe bien présente sert de toile de fond aux divers fruits. Compte tenu que ce Ardbeg devrait se vendre aux environs du même prix que le 10 ans d’âge, je dirais que cette édition n’a pas le panache de sa consoeur en plus de son caractère. Entre les deux, j’opterais les yeux fermés sur le 10 ans d’âge mais cette édition rejoindra probablement un nouveau public (comme le Kelpie) ou les amateurs qui ont un peu de difficultés avec la tourbe brute et animale du 10 ans. Encore une fois un compromis entre la recherche de nouveaux fans et une variante intéressante pour les amateurs actuels.
Patrick 85%Au premier essai, je l’ai comparé au 10 ans et j’ai été plutôt déçu. Mais à la seconde dégustation, un soir de semaine relax, j’ai trouvé qu’il était idéal pour la circonstance. Bref, un très bon Ardbeg de semaine. Le seul problème c’est que pour une version édulcorée, le prix n’est pas conséquent. Nez : Le succulent arôme d’Ardbeg, mais en version légère: Tourbe médicinale, agrumes, sel et une petite touche de miel. Bouche : Toujours le succulent Ardbeg version light, avec les mêmes notes de dégustation que celles perçues au nez. Finale : Un peu courte, mais tout de même savoureuse.

Johnnie Walker Platinum Label 18 ans Blended Scotch 40% – 150,50$

CSW : Dans la gamme, celui-ci s’inscrit en avant-dernier, soit avant le Blue Label et après le Gold. Le fruité et les épices dominent, ne laissant qu’un petit enclos pour la fumée de tourbe (tellement légère qu’on dirait plus de la fumée tout simplement). Beaucoup de céréales malgré l’âge relativement avancé du liquide. Avoine dans le lait un peu sucré, amandes, noix variées, fruits rouges et épices douces. Très impressionnante complexité. Impeccable équilibre des saveurs, ce qui crée une véritable harmonie en bouche. Rien ne dépasse du lot. Très bon whisky de 18 ans, à un prix qui peut être compétitif si on compare la complexité à un accolyte du même âge, même chez les Single Malt.

QW (2013) : André 87%Introduction de “grain whisky”, de céréales, de sucre et de timide fumée. Une fois le premier souffle du whisky évaporé, il s’assagit rapidement et la vanille et le caramel montent en scène. La bouche est uniforme sur les notes de céréales sucrées, la vanille et la texture est un peu molle et un peu trop fluide mais tellement agréable et est soulevée par une pointe intéressante d’épices. Finale sur le sucre et la vanille, le chocolat. Une belle découverte.
Patrick 92%Nez : Pâte d’amande, pelure d’orange, vanille, chêne, sel, une complexité étonnante. Bouche : Pomme verte, fumée, fruits tropicaux, chêne brûlé, biscuits, zeste d’orange. Finale : S’étire moyennement sur le zeste d’orange et les noix. Balance : L’une de mes meilleurs blend à vie.
Martin 86.5%Nez: Beau mélange, sucres vanillés, fruits séchés, légère fumée, citron, très complexe. Le caramel écossais y est très lourd. On sent l’effort derrière la composition de ce blend. Bouche: Huileux et riche. Miel et fumée s’abandonnent à une harmonieuse joute d’escrime. Étonnament doux et balancé. Un brin d’orange et de chêne font une visite vers la fin.. Finale: Vapeurs de citron et d’orange. Un peu trop doux par rapport au reste, presque décevant. Équilibre: Je n’ai jamais été naturellement porté vers les blends, probablement par préjugés non-fondés. Mais le Platinum Label me jette par terre, il a été élaboré avec amour, et ça se voit.

Bruichladdich Rare Cask 1986 30 ans Single Malt Scotch 44,5% – 1 100$ Exclusif SAQ Signature

CSW : Originalement vieilli en ex-fûts de Xérès Oloroso (Butts), Jim McEwan décide en 2012 de transférer le liquide dans d’ex-fûts de Pedro Ximénez (Butts aussi). Un whisky des plus rares (les Bruichladdich, tourbés ou non, vieillis en ex-fûts de Xérès sont un peu plus rares et recherchés. Une explosion de saveurs, aussi intenses et directes les unes les autres. Des raisins secs, un vrai gâteau de Noël, du chocolat noir, mais tout de même crémeux à souhait, mais aussi des pommes vertes, du citron et des abricots mûrs un peu sucrés.

QW (2018) : Rare Cask Series – Cette édition est nommée ‘Magnificent Seven’ car les sept derniers fûts de 1986 ont été utilisés pour la créer. Vieilli depuis le début en fût de xérès Oloroso, puis transféré en 2012 en fûts de xérès Pedro Ximenez de la Bodega Fernando de Castilla. A noter qu’il s’agit du millésime historique ayant servi à la creation du célèbre embouteillage Bruichladdich Darker Still. Seulement 4200 bouteilles embouteillées à la force du fût de 44.6%.
André 91%Gâteau aux fruits nappé de chocolat noir et de prunes séchées et de figues, mélange de cannelle et de gingembre, la pâte de fruits, les prunes et les petits fruits sauvages. La bouche est onctueuse et grasse, les notes de chocolat noir et de caramel brûlé sont plus évidentes, le sherry est pâteux et concentré, presque amer comme sensation en fond de bouche, oranges sanguines, abricots. Les épices émergent lentement de cette couverture de saveurs passablement opaque. Belles notes de gâteau aux fruits et de fruits séchés, vieux pantalons de de moto en cuir mouillés par la pluie. Finale de caramel salé au sel de mer, raisins secs, prunes, fruits secs et de barres de pâte de fruits trempées dans le chocolat noir amer. Du grand Bruichladdich!
Patrick 82%Toute qu’une expérience… Mais j’aurais plutôt tendance à le décrire comme un “cask oublié” plutôt qu’un “cask rare”. Bref, un whisky qui a été oublié dans un fût un peu trop longtemps. Enfin, ça demeure une superbe expérience malgré tout. Nez : Parfum de xérès superbement et énormément riche… De beaux fruits mûrs, du chocolat noir, de la réglisse et un peu d’oranges. D’une profondeur incomparable. Bouche : D’une grande richesse, des fruits mûrs, du caramel, du chocolat noir, du bois brûlé et des oranges sanguines. Intense, trèèèèès intense. Finale : D’une longueur interminable, marquée par un vieux xérès brûlant.
Martin 90%Nez: Caramel goulu, miel et pommes mijotées. Malt grillé, vanille et planche de bois saupoudrée de sucre. Bouche: Xérès vineux, vanille chaude, bois, fruits rouges et céréales. Bien relevé et bien affirmé. Finale: Épicée, chaude et sèche. Orange, chocolat, barres tendres et caramel salé. Équilibre: Les grands malts agés, on adore ça. C’est juste dommage que ça passe juste une fois. Faut en profiter!

Categories: Arrivages SAQ

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