Ces produits seront disponibles en ligne jeudi matin prochain (14 novembre 2019).

Evan Williams Black Kentucky Straight Bourbon 43% – 27,20$ 

CSW : Un Kentucky Straight Bourbon (au moins 51% de maïs),  vieilli en fûts américains neufs un peu chauffés. Le prix en fait un whisky extrêmement honnête. Des notes de mélasse un peu brûlée, pommes caramélisées et de noix chauffées. 

QW (2014) : André 82.5%Voici un bourbon facile d’approche, typique mais avec une petite touche épicée qui ravira les plus férus du style. Le nez est very smooth, fruité à souhait, la réglisse habituelle, vanille crémeuse, cassonade, bois de chêne sec, caramel. En bouche; arrivée soyeuse, noyée dans le caramel, puis émergent progressivement les notes de bois de chêne et les épices bien prononcées, les fruits rouges et la réglisse, une touche de poivre, cassonade. Finale bien poivrée et épices, mélange de fruits rouges séchés et de réglisse. Sans être le bourbon hyper singulier, ce bourbon est agréable de dégustation mais je le trouve légèrement débalancé par les fortes notes de poivre noir et d’épices trop prononcées en finale de bouche.
Patrick 87%Il es aisé de comprendre pourquoi ce bourbon est un aussi bon vendeur : intense et léger à la fois, complexe et simple à boire en même temps, on pourrait l’apprécier straight ou on the rocks avec du Coke. Et le tout à un prix raisonnable, même à la SAQ! Nez : Chêne brûlé, vanille, maïs et de belles épices. Bouche : L’ensemble est riche en saveurs mais tout de même léger, probablement grâce à la filtration au charbon de bois. Superbe ensemble d’épices, de vanille, de chêne brûlé intense, de maïs, avec une touche de vieux cuir et en filigrane, un peu de caramel. Finale : D’une longueur moyenne, avec épices et cuir en vedette.
Martin 83%Robe à quelque part entre orangeade et soleil du désert. Nez: On est tout de suite mis à l’aise avec un réconfortant nez de bourbon classique. Vanille, maïs, léger cuir et acétone. Nez très voisin d’un Maker’s Mark. Bouche: Comme bien d’autres, c’est en bouche qu’il se permet de briller. Assez léger, on s’ennuie un peu de l’aggressivité des autres bourbons, mais ça nous permet d’explorer un peu plus attentivement le mashbill, qui nous révèle plus d’orge qu’on aurait pu le croire. Le caramel rôde toujours, pas trop loin derrière le rideau. Finale: Le maïs revient frapper, avec les épices et un léger cuir. Équilibre: Un solide bourbon pour la base de la pyramide, même un petit peu surprenant sur les bords.

Revel Stoke 40% – 29,30$

CSW : Un whisky canadien assez standard, avec une combinaison de caramel discret venant du maïs et d’épices amères venant du seigle.

The Deveron 12 ans Single Malt Scotch 40% – 65,00$

CSW : Aussi sous le nom de Macduff ou anciennement Glen Deveron, cette distillerie nous apporte son nouveau (2015) remodelage des produits officiels, qui habituellement meublaient le Blend populaire Dewar’s White Label. Un dram malté et épicé, comme si l’on faisait un gâteau de Noël au gingembre et au miel.

QW (2017) : Ce single malt léger est élaboré au sein de la distillerie Macduff qui se situe à l’est des Highlands, à la limite du Speyside.
André 78%Pommes vertes nappées de miel, agrumes, vanille, herbe verte peut-être. Nez agréable et calme, un peu effervescent. Ce whisky possède une joie, quelque chose de festif au nez que la bouche trahira dès la première gorgée. L’arrivée est fade, la texture plate avant que n’arrive la forte vague d’épices qui désarçonne légèrement. Heureusement, les fruits secs et la pomme verte émergent avec bonne force de l’ensemble et nivellent l’équilibre général. Finale épicée, herbeuse très bizarre. Un whisky à la palette aromatique singulière et à l’équilibre discutable. Un échantillon fera l’affaire si vous pouvez vous passer d’une bouteille.
Patrick 85%Un très bon whisky de semaine qui nous change de l’ordinaire. Une belle surprise qui gagnerait à être plus connue. Nez : Grain légèrement grillé et couvert d’une couche de miel, d’une touche de pommes vertes et de fleurs. Bouche : Céréales sucrées avec une touche subtile de fumée, d’épices et de sel. On est à des lieues d’Islay, mais ça demeure un très bon whisky de semaine. Finale : Marquée par l’orge salée, mais malheureusement un peu courte.

Ezra Brooks Old Ezra Barrel Strength 7 ans Kentucky Straight Bourbon 58,5% – 65,50$

CSW : 70% de maïs, 12% d’orge malté et 10% de seigle. Whisky d’une bonne maturité, en plus à la force brute. Toutes les qualités que l’on peut vouloir en déchiffrant et analysant une étiquette d’une whisky. Très bon whisky, surtout au prix demandé. Pour les amateurs de Baker’s 7 ans, vous serez servis ! Belle palette de saveurs et longueur extraordinaire.

Tullibardine 225 Sauternes Finish Single Malt Scotch 43% – 73,75$

CSW : Le côté agrumes confituré des Sauternes est mis de l’avant avec cet embouteillage. Le fruit, la sucrosité, les fruits exotiques comme l’ananas, de la vanille.

QW (2014) : Château Suduiraut.
André 85%Il y a vraiment un parallèle à faire entre cet embouteillage et le Glenmorangie Nectar d’or, ce côté pâtisserie, les poires, les agrumes et le beurre crémeux peut-être. Une goutte d’eau révèlera des notes d’oranges très mûres et amplifiera les fruits exotiques. Belle texture crémeuse féminine en bouche; vanille et miel salade de fruits sur cette texture crémeuse veloutée. Personnellement, je trouve que l’influence du vin de dessert est assez bien ressentie, surtout en finale de bouche, en laissant une texture liquoreuse bien longue et d’une belle persistance. Pâtisseries aux amandes, biscuits Petit Beurre. Finale lente et langoureuse, beaucoup de vanille crémeuse et sensuelle. Un whisky dessert agréable et sans trop de prétention.
Patrick 80%Un bon whisky savoureux, mais un peu trop jeune. Nez : Doux parfum sucré et mielleux, avec une bonne dose de fruits frais tels que des ananas, du melon miel et autres agrumes. Bouche : Beau sucre me rappelant plus un bourbon que du Sauternes. Mais aussi du miel, de la vanille, des agrumes et une touche herbeuse. L’ensemble paraît assez jeune. Finale : D’une belle longueur, herbeuse, sucrée et avec un petit quelque chose nous rappelant que le new make n’est pas bien loin.
Martin 85%Nez: Frais et crémeux. Bien sucré dès le nez de départ. Sucre à glacer, pommes et salade de fruits frais. Le sauternes est subtil, mais ca lui sied bien. Bouche: Bien relevé, texture légèrement fade. Par contre nous offre de belles notes de chêne et de crème chantilly, d’épices et de melon au miel. Finale: Plutôt sèche, mais tout de même agréable. Les touches de crème et de vanilles complètent bien le chêne épicé. Équilibre: Une belle progression sur le ligne de la distillerie. Quand on goûte au Sovereign et on comprend les différentes finitions utilisées, on peut plus aisément goûter la définition.

Johnnie Walker Double Black Blended Scotch 40% – 75,75$

CSW : Un Johnnie Walker ayant été vieilli dans des fûts qui ont été carbonisés, pour ajouter une couche de fumée (non-tourbée) au whisky déjà un peu tourbé. Excellente complexité et mélange de saveurs.

QW (2014) : André 87%Nez très agréable, fruité avec un fond de réglisse noire, du sucre, de la vanille et du charbon de bois froid. Épices latentes, s’alourdissant avec le temps. Le nez aussi devient plus pointu en s’aérant. Arrivée pauvre et diluée, très liquide, mais suivant cette livraison ordinaire, une belle apparition à saveur de Lagavulin diluée avec de l’eau, bien relevée en arômes de tourbe. C’est surprenant et inattendu. Un peu trop volatile, mais les belles effluves de tourbe avec un d’accent maritime, jumelées d’épices à saveur de gingembre servent de pont vers la finale. Dommage que l’ensemble soit un peut trop diaphane car le punch de la bouche et la tourbe de la finale sont très intéressantes.
Patrick 85%Nez : Puissante tourbe fumée étonnante pour un blend. Un bon mélange d’épices à steak et de bois brûlé. Bouche : Très fumé et tourbé, et toujours les épices à steak. Finale : La fumée s’étire très longuement. Vraiment très longuement. C’est impressionnant. Balance : Manque un peu de balance, mais demeure très bon. Je préfère toutefois le « Black » régulier. Mais ca reste une très bonne idée!
Martin 84.5%Ambre foncé +1 sur un JW Black régulier. Nez: Caramel et beurre salé, chêne brûlé. Traces de fleurs, de cuir et de charbon. Semble timide comparé à l’aspect sinistre de la bouteille. Le emo des Johnnie Walker? Bouche: Peu de corps, plutôt léger, voire même insipide. Oignons caramélisés et cassonade brûlée. Cendré mais à peine terreux et tourné. Finale: Une fumée amère transporte des notes de pneu brûlé et d’écorce d’orange. Équilibre: Un bel effort ici encore une fois, mais je m’attendais à beaucoup plus. Dans mon livre à moi, le JW Black original est supérieur. Montez-moi ça à au moins 43% d’alcool et on va peut-être retourner à la table des négociations.
RV 84%Pas un gros profil olfactif mais le côté brûlé s’installe confortablement bien par rapport aux éditions régulières. Très fort au palais avec pas autant de caramel que je m’attendais, mais bien de la fumée. Par contre, même pour un blend, je trouve la finale trop courte, ce qui autant plus triste pour un Johnnie Walker qui sort enfin du lot.

Templeton Rye Barrel Strength Straight Rye 57,9% – 82,50$ Exclusif SAQ Signature

CSW : Un whisky de seigle (95%), complété par de l’orge malté (5%), en puissance, assez boisé et surtout épicé. Amandes grillés, baies cuites jusqu’à confiture.

Arran Amarone Cask Finish Single Malt Scotch 50% – 85,50$

CSW : Une distillerie maritime, qui a un distillat axé sur les agrumes et un petit côté salé. Une merveilleuse combinaison entre l’orange et les fruits rouges un peu séchés au Soleil, de par l’influence du fût de vin d’Amarone, connu pour sa méthode de passerillage, et la salinité. À avoir dans sa collection.

QW (2013) : Arran s’est très tôt lancée dans les affinages (cask finishes). Souvenons nous des Bourgogne, Cognac, Calvados, Sauternes woods finishes du début des années 2000. Cette année, Euan Mitchell, son jeune manager, nous en propose trois nouveaux. L’un affiné en fût de Porto, un autre en fût de Sauternes et cet affinage dans des fûts ayant contenu de l’Amarone, rare vin rouge sec issu de raisins passerillés de l’appellation Valpolicella. Que ce soit la palette chromatique, aromatique ou gustative, chacune d’entre elles est d’une rare élégance.
André 90%Avec une couleur rose saumon cuivrée, pas de doutes sur les influences d’affinage en fût particulier. Nez fruité d’orange et de poires. Beurre. Superbe en bouche, les fruits sont toujours aussi présents, accentués par des notes de chocolat au noix. Finale soutenue et toujours fruitée, raisins secs, poires et eau de rose accompagné des inséparables oranges. Un single malt bien constitué, à la balance exceptionnelle. Une belle réussite d’affinage qui saura plaire à plusieurs amateurs.
Patrick 90%Arôme vineux, avec une touche de chocolat noir. Une fois en bouche, le whisky prend toutefois toute sa dimension : Profond, suave, riche…. Cerises mures, chocolat, caramel, orge, vanille. Tellement sucré, on dirait un vrai dessert! Le tout est superbement équilibré parles notes de chêne brûlé. La finale est longue, intense et surtout très chaleureuse. L’équilibre est parfait, les sensations aussi, et une belle profondeur des saveurs lui assure cette note de 90%! Exactement ce qu’un « cask finish » doit être.
Martin 90%Joli ambré bruni et riche de ses 50% d’alcool, bonifié d’un rosé octroyé par sa finition spéciale. Nez : scotch racé typique, orge, miel, légère fumée, poire et orange. Un sherry cask en moins poussiéreux et en moins raisin-tabac. Subtil et sublime. Bouche : sucré et fruité, le taux d’alcool transporte bien les notes de chocolat noir, de raisins secs, d’épices, de noix, de cerise et de vanille. Wow. Finale : d’une belle longueur, on continue à se laisser aller avec poire, chêne, raisins et cacao. Équilibre : un pari qui a été payant pour Arran. Un cask finish avec un solide taux d’alcool et avec des saveurs qui collent longtemps avec nous pour notre plus grand plaisir!
RV 91%Bien dosée, élégante, une superbe bouteille racée. Quand on parle d’un whisky dénaturé, juste à en voir la couleur on s’attend à ce que ce soit beaucoup plus en vin italien qu’en résultat d’orge maltée. Le nez, assez délicat, ne décourage pas de cette même pensée. En bouche, un excellent whisky à tendance Speyside boisée, qui joue sur des notes de vanilles et assurément d’Amarone, sans tomber dans le raisin mais dans le sucre de celui-ci. La finale est peut-être un peu courte alors que j’aurais aimé profiter encore plus longtemps de ce whisky à la finale punchée et étonnante.

An Cnoc Peatheart Single Malt Scotch 46% – 100,25$

CSW : Ce whisky de la distillerie Knockdhu est le plus tourbé de toute la série des tourbés, avec un gros 40ppm. Vieilli en ex-fûts de bourbon, ce whisky aux arômes fumés dominants aura en contraste un côté plus léger et frais, principalement sur les fruits du verger, les agrumes et la vanille. De plus, le caractère de la distillerie axé sur les noix et les fruits sucrés, voire caramélisés, apporte une belle complexité.

QW (2018) : Vieilli en ex-bourbon barrel et tourbé à un taux de 40ppm.
André 84%Tourbe terreuse camphrée, menthe verte, antiseptique, herbe, agrumes, crème à la vanille crémeuse. Peut-être un peu trop straight dans l’approche. En bouche, la même palette de saveurs; pommes verte, herbe, oranges, ananas, citron pressé, tourbe, sensation un peu plus huileuse que le nez qui était relativement plat. La tourbe est camphrée mais pas médicinale. Finale courte, franche et sèche, vanillée. Beau mélange de fruits frais et de tourbe rafraichissante.
Patrick 89%Un très bon scotch tourbé qui plaira à tous les amateurs de tourbe. J’aime. Nez : Appétissant parfum de fumée de tourbe sucrée, avec des notes d’agrumes et de vanille. Bouche : Belle fumée de tourbe, chêne sec, poivre, agrumes et une note salée. Finale : D’une belle longueur, marquée par la fumée et les agrumes.

Lagavulin 8 ans Single Malt Scotch 48% – 100,50$

CSW : Un Lagavulin musclé, aux accents maritimes, bitumeux et mentholés. La version la plus brute du Lagavulin en édition normale.

QW (2016) : André 89%Après les déceptions des éditions 200eme anniversaire des distilleries Ardbeg et Laphroaig, j’attendais avec expectative et un peu de crainte l’édition de Lagavulin soulignant aussi leur ‘’deux-centenaire ‘’… L’édition 16 ans d’âge trônant tout au haut du palmarès des meilleur whisky sur le marché (dans mon livre à moi comme on dit), la barre était haute. Ne fût pas la surprise d’apprendre que la distillerie optait pour un 8 ans d’âge pour souligner cet événement. Synonyme des tendances du marché, pénurie de vieux fûts (et de whisky âgé), hausse faramineuse des prix, plafonnement des ventes de single malt au niveau mondial (les amateurs eux-aussi sont peut-être plus éveillés au marché des micro-distilleries et du nouveau-monde) mais cette édition avait donc une grosse responsabilité envers ses amateurs. Distillerie chérie de plusieurs hardcore fans, on attendait avec une pelle et un fanal comme on dit… Donc, au nez; directement dans le style Islay, pas de Lagavulin comme on le connait, plus artisanal et brut comme les Kilchoman peut-être. Tourbe et fumée, huileux et bizarrement un peu sec aussi. Beaucoup de toffee, de vanille, motte de tourbe mouillée, terreuse et herbeuse. Mélange bizarre de poivre et de fruits tropicaux. La texture offre une approche douce, le whisky semble un peu dilué malgré son 48% d’alcool. Au fil des petites gorgées, les strates de tourbe fumées s’accumulent et gagnent en puissance. Cela amplifie les saveurs de poivre et d’épices. Au final la tourbe semble plus mentholée, un peu comme les bonbons casse-grippe. Les fruits encerclent bien le tout; poires, pommes vertes, un brin d’agrumes. Côté médicinal omniprésent en finale, les bandages et l’antiseptique médical, sel et poivre, menthol, tourbe grasse, beaucoup de poivre (encore une fois) et de gingembre astringent. Un superbe whisky dans le style, mais j’ai de la difficulté à lui faire passer la barre du 90%, surtout pour un manque de « wow factor » au niveau texture. J’adore les effluves de chocolat noir qui s’échappent du verre une fois le whisky terminé. Alors fans de Lagavulin; BUY!
Patrick 92%Différent de tous les Lagavulin que j’aie jamais bu, avec un bon fond malpropre et une intensité débridée. Pas extraordinaire comme l’original (le 16 ans), mais c’est tout de même vraiment réjouissant de découvrir une nouvelle facette de Lagavulin. Nez : Oh que la fumée est intense ici! Intense et malprore comme je n’ai jamais connu Lagavulin, avec une bonne dose de charbon et d’huile à chauffage. Bouche : Poivre, sel et épices, avec une bonne dose de chêne brûlé. Intense, huileux, mais avec aussi une texture démontrant que le whisky est plutôt jeune. Finale : Fumée et intense.
Martin 90%Blanc cassé, presque transparent. Nez: Thé, miel et cassonade. Pierre lavée, tourbe salée, phare du Fisherman’s Friend. Racé et robuste. Xérès. Bouche: Tourbe enflammée, algue et sel, miel et vanille. Bois sec et épices, le tout nappé d’une douceur insoupçonnée. Crème brûlée, noisettes et tourbe verte. Finale: Épices chaudes et bois gorgé de sherry. D’une belle longueur, la fumée iodée fait office de toile de fond pour épices, cantaloup et raisins blancs. Équilibre: À la hauteur de attentes et de la réputation de la distillerie. Très unique par rapport aux autres Lagavulins sur le marché. Un sacré beau coup pour souligner le bicentenaire de la distillerie. Un peu jeune, mais avec un taux d’alcool qui compense amplement.

Lagavulin 12 ans Cask Strength Single Malt Scotch 56,8% – 160,25$

CSW : Édition annuelle limitée du 12 ans en brut de fût. Entièrement vieilli en ex-fûts de Bourbon, il démontre son caractère tourbé et salin, en équilibre avec la maturité et la force du produit. Définitivement pour les amateurs de tourbe intense et verte ! Citron confit, poivre, poivron vert, fumée intense avec une texture huileuse hors-du-commun.

QW (2018) : Patrick 94%L-a-g-a-v-u-l-i-n. Ai-je besoin d’en dire plus? Nez : Parfum de tourbe intense, avec du sel, des agrumes, de la vanille, du chêne et du bonheur dans mon cœur. Bouche : Belle arrivée en bouche épicée, qui évolue rapidement vers une puissante fumée de tourbe, le tout avec des pointes de poivre, d’agrumes, de chêne, de charbon et de sel de mer. Finale : Longue et hyper savoureuse, dominée par les épices du chêne et le sel de mer.

Categories: Arrivages SAQ

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